L’UMP a trois candidats pour sa présidence et trois candidats pour la présidentielle.Que le meilleur gagne ! Je ne suis pas surpris par le retour de Nicolas Sarkozy. La politique, c’est sa vie. Le jeu est ouvert.
Il veut changer l’UMP et c’est important de savoir dans quel sens il veut le faire. Si c’est pour faire une formation fédérative avec un candidat à la présidentielle et des personnalités autour de lui, cela me plaît. Si c’est pour avoir un parti sans débat et s‘aligner dans les pas du chef, cela ne me plaît pas. Je me sens plus proche de François Fillon, notamment pour les questions économiques et de société. La majorité choisira et je soutiendrai celui qui sera désigné à condition que le courant politique laisse la place aux idées et au débat. La vie politique ne se résume pas à la présidentielle et au choix d’un leader. Il y a aussi les idées.
