Elections Législatives 2017
Dans un climat politique marqué par la volonté de nos compatriotes de « donner sa chance au Président élu », le résultat de Bertrand Pancher dans le Sud Meusien, « Bar-le-Duc/Commercy » arrivé en tête, consacre à la fois un travail personnel et une vraie sagesse politique :
Le Sud Meusien, grâce au travail collectif soutenu et animé par Bertrand Pancher, bouge et bouge en bien. Lui seul, avec l’aide des intercommunalités meusiennes, du Département, de la Région, peut transformer ce nouveau départ en un succès durable. Son adversaire, l’ancienne Conseillère Générale Diana André, est opposée aux principaux projets. Elle est d’ailleurs en opposition avec la politique économique, sociale, énergétique du Gouvernement et du Président ! Il faut que les Meusiens sachent, qu’à notre connaissance, elle est en désaccord aussi avec tous les projets meusiens qui sont pourtant connus et reconnus par le Gouvernement d’Edouard Philippe. Elle ne peut pas être notre avocat.
L’Assemblée Nationale a besoin de Députés compétents, respectueux du Président élu, mais représentant d’abord librement les Français : la France rurale, des communes et des petites villes, des agriculteurs et des artisans, des commerçants, des petits patrons, comme celle des salariés ou des retraités, aura besoin d’être défendue. Oui, il faut des réformes, mais elles doivent profiter à tous et pas seulement à ceux qui, dans les grandes villes et les filières nouvelles sont déjà avantagés. Il en est ainsi de l’augmentation prévue de la CSG.
Bertrand Pancher à l’Assemblée sera garant de ce bon sens de chez nous. Sans l’équipe meusienne qui travaille, solidaire, je le répète, avec les communes, le Département, la Région, et à laquelle j’ai toujours apporté mon appui, pas de Gare Meuse TGV, pas d’implantation EDF à Velaines, pas de Safran et de CMI à Commercy, ou d’achèvement enfin financé de la RN 135 de Bar à Ligny. Il n’y aurait pas eu de soutien pour Aperam hier à Ancerville, ou Sodetal demain, dans la Vallée de l’Ornain. Pas de filière électronucléaire permettant de passer des 500 emplois actuels aux 2 500 du chantier que la loi sur la réversibilité permet désormais d’envisager.
La Meuse bouge, le Sud décolle, ce n’est pas le moment de casser l’élan : Bertrand Pancher est indispensable, son concurrent n’est pas utile, elle représente surtout par son engagement socialiste, le passé dont la France ne veut plus.