Hier dans mon communiqué, je suis passé à côté de l’essentiel. Parce que j’aime la France, j’ai défendu les générations qui l’ont construite avec leurs peines, leurs efforts, leurs joies, mais aussi leurs erreurs : un examen bienveillant mais lucide que tout patriote doit à son pays. Cette attitude, Macron la refuse.
Mais le pire du propos de Macron concerne l’avenir de notre communauté : si la colonisation est un crime contre l’humanité, comment alors espérer que les divers héritiers de notre histoire puissent pacifiquement se comprendre et se respecter à l’avenir, sur ce territoire national bien mélangé qu’est aujourd’hui notre pays. Un Français issu de la décolonisation devra désormais, et grâce à Macron, considérer son concitoyen « gaulois » comme un fils, un petit-fils bref un descendant de tortionnaire. Voilà la haine en héritage qui menace désormais notre Pays ! Qui peut dire merci à ce candidat, qui récusait l’existence d’une culture française hier et qui pose des fondations de multiples haines à venir non seulement des communautés mais des haines inventées et entretenues ! Curieuse démarche citoyenne sans doute ! Et pour l’Europe, bonjour les dégâts quand l’Italie sera condamnée pour l’Empire romain, quand les Français condamneront l’Allemagne au nom du Traité de Francfort et les Allemands condamneront la France au nom de l’invasion du Palatinat.
Et toute l’Europe unie dénoncera le crime contre l’humanité que représente sans doute la présence Napoléonienne sur la quasi-totalité de l’espace européen d’aujourd’hui.
Élève candidat Macron passez votre tour, vous êtes recalé !